RAW ou JPEG ? C’est un des plus anciens débats qui agite le monde de la photo depuis de nombreuses années. Des dizaines de forums, blogs et sites web dédiés à la photo ont déjà plus ou moins bien traité le sujet.
Étonnamment, je n’ai jamais évoqué ce sujet sur le blog… Je vais réparer cette erreur et apporter mon avis et ma pierre à l’édifice.
Comme toujours, je vais essayer de vous transmettre un bout de mon savoir et de mon expérience et je suis sûr que ça va rendre bien des services. C’est le but en tout cas. 😉
Attention, sujet prise de tête en vue !!! 🙂
Tout le monde ne photographie pas en RAW ?
Si je prends comme échantillon représentatif les élèves VP23 que je reçois en formation photo, nombreux sont ceux et celles qui utilisent le seul format JPEG dans leurs sessions photo. Je pense qu’une bonne partie des personnes qui pratiquent la photographie se contentent aussi d’images en JPEG.
Mais je vous invite à remplir le mini sondage ci-dessous pour voir quelle proportion de mes lecteurs sont plutôt JPEG que RAW ou inversement. 🙂
Si pour un photographe amateur confirmé ou un photographe pro, le format RAW est quelque chose de couramment usité, ce n’est pas le cas de la majorité des photographes. Ces derniers n’ont pas pour autant tord de ne pas utiliser ce format. Il y a même des pros qui ne photographient qu’en JPEG, mais on va y revenir un peu plus bas. 😉
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Nombre de photographes utilisent le JPEG et en sont très contents !!!
Mais au fait, c’est quoi le RAW !
J’aurais peut-être du commencer par ça non ? 🙂
Si vous ne savez pas ce qu’est le format RAW, lisez attentivement ce paragraphe pour vous mettre à jour. Le format RAW est tout simplement un fichier de données issus du capteur et généré par votre appareil photo. Ce n’est pas un fichier image comme peut l’être le JPEG. Ce sont juste des données qui peuvent être interprétées et lues comme une image par certains logiciels seulement. Chaque constructeur à sa propre extension pour les RAW : .NEF pour Nikon, .CR2 pour Canon, .ARW pour Sony, etc… Le fichier RAW nécessite d’être « transformé » en JPEG (ou en TIFF) pour être ensuite utilisé et exploité en tant que réelle image.
L’intérêt principal du RAW est d’obtenir une image avec un maximum d’informations et une plus grande maniabilité en termes de post-traitement et de retouche. Là où un fichier JPEG « pèse » 5Mo, un fichier RAW sera plutôt aux alentours des 20 Mo. On désigne régulièrement le fichier RAW comme une image brute de capteur, ce n’est pas tout à fait vrai, notamment parce que ce n’est pas réellement un fichier image. Mais cet exemple décrit tout de même bien ce qu’est un RAW.
A contrario, le JPEG est un fichier image déjà retouché et compressé. Quand vous photographiez en JPEG, votre image a été compressé pour rendre l’image finals plus légère et simple à utiliser. Ce qui limite fortement le post-traitement en aval. De plus, pour obtenir le JPEG, votre image est passée par une sorte de « Photoshop » interne au boîtier. Ce traitement agit sur certains paramètres (saturation, contraste, ajout de netteté, etc…) pour rendre le fichier exploitable.
Le fichier RAW, c’est du lourd !
Pourquoi faut-il photographier en RAW ?
Sur cette question, les photographes sont à peu près tous d’accord, il faut photographier en RAW ! Cela dit, je n’aime pas les « il faut » et d’ailleurs je ne pense pas qu’il faille photographier en RAW ! Je pense juste que c’est préférable ! La différence est tenue, je le conçois, mais elle ouvre la porte à la nuance et j’aime bien ça. 😉
Personne n’est obligé de photographier en RAW et celui ou celle qui choisi de photographier en JPEG n’a pas forcément tord ou rien compris au monde de la photo. Chacun fait ce qu’il veut ! N’écoutez pas les puristes ou extrémistes en tout genre ! A minima, visualisez leur propres travaux photographiques. De même pour moi, si vous n’aimez pas mes photos, peut-être mieux vaut-il, pour vous, de ne pas tenir compte de mes conseils et affirmations. 😉
Ce qui est important, c’est surtout de faire le bon choix par rapport à sa pratique de la photo et de ses envies ! D’où l’intérêt de cet article ! Donc RAW ou JPEG, dans l’absolu il n’y a pas de bons ou mauvais choix. Mais je vais tout de même essayé de vous expliquer pourquoi j’ai fait le choix du RAW et pourquoi ce choix me semble toujours aussi judicieux après des années de pratique. 😉
Je préfère photographier en JPEG, mais je n’ose pas le dire publiquement, apparemment ce n’est pas bien…
Un format complet et utile !
Le RAW est un fichier qui offre une malléabilité plus grande de par son poids et ses nombreuses informations stockées. A mon sens, il me permet d’obtenir une qualité d’image plus intéressante que le JPEG. A l’aide d’un logiciel dédié (DXO, Lightroom, etc…), on peut modifier un RAW à l’envie et même repartir de zéro et annuler toutes les modifications faites sur le fichier si besoin.
Sur un JPEG, il n’y a pas de retour en arrière possible si vous avez enregistré l’image… Chaque modification sur un JPEG « abîme » un peu plus votre image. Vous ne pouvez pas non plus rattraper correctement une erreur commise à la prise de vue. Si vous avez une surexposition sur un fichier RAW, les possibilités d’atténuer le défaut seront bien plus grandes et intéressantes, sans dégrader la qualité du fichier.
Si vous voulez vous assurer de prouver la paternité d’une image, le fichier RAW est crucial. Si quelqu’un vous pique une photo sur le web, il n’aura pas votre fichier RAW et il vous sera donc aisé de prouver que vous êtes l’auteur. C’est l’équivalent du négatif en argentique a bien des égards. 😉
Flûte, j’ai encore oublié de faire un copié collé de mon JPEG avant de le modifier… Maintenant mon fichier est tout cassé…
Donc si on photographie en JPEG… on n’a rien compris ?
Oui voilà ! 🙂 🙂 🙂
Nan je rigole, on peut tout à fait photographier en JPEG si on le souhaite. On sera forcément plus limité qu’en RAW, mais le JPEG est aussi un format intéressant. Particulièrement pour les photographes qui débutent ou ne veulent vraiment pas se prendre la tête avec un logiciel photo dédié. C’est aussi plus simple pour publier rapidement sur les réseaux sociaux, partager avec la famille et ainsi de suite…
A mes débuts, je ne photographiais qu’en JPEG. Je ne connaissais pas bien le RAW et je voyais ce type de fichier d’un mauvais œil. Pour moi c’était juste pour les retoucheurs de l’extrême… que j’exécrais. Oui, j’ai toujours eu des avis tranchés… 🙂
Pour moi, le bon photographe devait créer sa photo sur le terrain et c’est tout ! Je ne comprenais pas qu’on se contente d’une photo moyenne, pour ensuite l’améliorer pendant des heures sur le PC. Évidemment, ma vision des choses était biaisée et moins large qu’aujourd’hui. Heureusement pour moi, j’évolue constamment et plutôt en bien je pense. Enfin j’espère, mais vous allez me dire ça dans les commentaires j’en suis sûr. 🙂 🙂 🙂
Ce que je ne savais pas, c’est qu’on pouvait cumuler ma vision des choses et l’utilisation du RAW. Vous n’allez pas me croire, mais c’est ma femme qui m’a convaincu de passer au RAW, en m’invitant à tester au moins quelques temps, il y a maintenant 10 ans… Je voulais lui prouver que ce n’était pas fait pour moi et je suis tombé amoureux du format ! La tuile… je lui ai donné raison. 🙂
Je pense toujours qu’on peut et doit créer son image finale sur le terrain à 90% voire 100% si c’est jouable ! C’est ce que je prône et montre en formations photo en tout cas. Mais je pense aussi qu’il est utile et nécessaire de finaliser son idée et sa vision en aval et c’est ce que j’appelle : le post-traitement. Je différencie vraiment le post-traitement de la retouche, qui n’est toujours pas ma tasse de thé. Même si j’accepte que les autres en fassent et je peux même le comprendre et adhérer au projet. Je vous le dis, j’ai beaucoup évolué en à peine dix années. 😉
On peut voir avec cette photo prise récemment au Danemark que le fichier JPEG brut est plus séduisant que le JPEG du fichier RAW brut. C’est déjà une image exploitable, mais c’est aussi parce que la prise de vue sur place n’a pas trop été foirée, sinon forcément c’est plus compliqué dans tous les cas…
Si on est pro, on photographie en RAW !
Ça rime et ça semble logique pas vrai ? Mais c’est faux… Il existe des pros qui ne photographient pas en RAW ou très peu. Les photographes sportifs photographient souvent en JPEG par exemple, surtout ceux qui bossent pour la presse. Ils doivent transmettre des tonnes de photos dans un temps très court et envoyer des RAW serait vraiment compliqué et contraignant…
Les photographes de presse, d’une manière générale, utilisent pas mal le JPEG pour sa « légèreté » principalement. Pour autant, les photos de ces photographes ne sont pas bonnes à jeter à la poubelle.
Le format RAW offre une plus grande latitude à ceux qui veulent prendre le temps de développer leurs photos. Ce qui est mon cas aujourd’hui. Bien que je dise souvent que je n’aime pas passer 3h sur une photo, je tiens tout de même à finaliser mes fichiers et apporter définitivement ma patte sur chaque cliché. Parfois, je passe moins de 30s sur une photo, souvent moins d’une minute, mais d’autres fois ce sera quelques minutes pour x raisons (notamment quand j’ai des saletés de pétouilles sur le ciel de mes paysages…).
Le format d’un fichier ne détermine pas le degré de talent d’un photographe, pas plus que la grosseur du matériel… Ce serait trop simple non ? 🙂
Bref, attention aux poncifs qui sont très souvent une vraie plaie pour les gens qui débutent en photo. Ils arrivent sur le « marché » avec des idées pré-conçues, simplement parce que moult blogs, sites web et personnes se bornent à répéter les mêmes choses, sans les remettre en question ou apporter un point de vue un peu différent.
Ici, le fichier JPEG est post-traité à la marge, je ne pourrais de toute manière pas faire des choses extravagantes non plus.
Si vous vous laissez tenter…
Vous aurez des disques durs qui en bavent, parce que le format RAW est plus lourd que le JPEG. Il vous faudra aussi toujours avoir un logiciel capable de lire ces fichiers, de les interpréter correctement et de les modifier à souhait. Tout ceci représente vite un vrai investissement, sans parler de la gestion du stockage qui est une vraie plaie. Mais en JPEG c’est pareil ! Mais le souci arrive moins rapidement, je dirais même environ 4 fois moins vite.
Heureusement, les avantages l’emportent largement à mes yeux, puisque le RAW offre des possibilités de modifications du fichier très intéressantes et poussées. Même si, comme moi, on n’aime pas utiliser des tonnes d’outils et passer du temps sur une photo pour la finaliser… Avec le RAW, on peut se contenter de gérer la balance des blancs seulement sur PC. On gagne du temps et de l’énergie sur le terrain à ne pas régler ce paramètre sur place, alors qu’en JPEG…
On peut bien mieux gérer la dynamique de ses images en post-traitement. Une ciel trop clair peut facilement devenir un ciel bien exposé par exemple. Bref, on a tout simplement plus de choix et de possibilités sur ce qu’on veut faire de nos fichiers. Je le dis souvent, mieux vaut avoir l’embarras du choix que le choix de l’embarras ! 🙂
Le fait de pouvoir prouver facilement la paternité de mes photos est un gros plus aussi, d’autant que je ne transmet jamais de RAW à quiconque. 😉
Même si le traitement semble légèrement différent, j’ai opté pour le même style de modifications que ce soit sur le JPEG brut ou le RAW brut.
Si on regarde vite fait et en petit format, le JPEG semble même plus attrayant… 🙂
Je vais réécrire tout de suite cet article du coup. 🙂 🙂 🙂
Mais en zoomant un peu, on peut s’apercevoir du manque de détail sur le JPEG par rapport au RAW. J’ai pris un fichier simple qui n’a pas nécessité un lourd post-traitement, ce qui est favorable au JPEG. Mais on peut déjà mesurer la différence notable.
Conclusion
Impossible pour moi de me passer du format RAW aujourd’hui… Cela fait entièrement partie de ma façon de travailler. J’ai besoin de mon réflex, de ma vision sur le terrain, de mes fichiers RAW, de mon logiciel de post-traitement DXO et de ma vision finalisée de chacune de mes images pour en sortir des JPEG qui me correspondent.
Mais comme on peut le voir sur un exemple simple, le JPEG peut aussi s’utiliser sans souci, surtout si c’est pour le web. Pour celles et ceux qui veulent aller plus loin et mieux maîtriser encore leur production photographique, je ne peux que conseiller de passer au format RAW. Quitte à faire comme moi du RAW + JPEG dans un premier temps pour être sûr d’avoir le choix.
Moi je le fais par peur de perdre mes fichiers, mais je pense de plus en plus que je vais passer au seul format RAW pour alléger mes disques durs. Pour le moment je n’arrive pas encore à prendre cette décision cela dit…
Bref, photographiez en RAW quand vous vous sentez capable de passer le cap et je vous y encourage ! Faites comme moi à l’époque et testez quelques semaines pour voir, il sera toujours temps de repasser au JPEG si ce format ne vous convient pas. 😉
Mais ne culpabilisez pas ou ne vous rabaissez pas si vous optez pour le JPEG. Il n’y a rien de honteux à cela et laissez parler ceux qui pensent que vous vous trompez à coup sûr. 😉
Alors, vous êtes plutôt RAW ou JPEG au fait ??? 🙂
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A très bientôt !
je deterre le fil de ce bel article. pour ma part RAW +JPEG, car le Jpeg que j’utilise est un noir et blanc ( Leica Q), ça me permet par la suite de faire une belle transfo Net B avec lightroom si je vois qu’il y a des avantages à le faire et le Raw Leica est universel (DNG) mais je ne traite que les photos qui m’interressent.
Utilisateur de FUJI aussi , la netteté des RAF , difficile à traiter même avec le dernier bouton apparu dans lightroom, demande beaucoup de temps et je réserve le traitement des raw fuji aux plus belles images.
Le caractère « jamais définitif /jamais fini des Raw fait qu’on a un peu tendance à toujours vouloir mieux et à rebidouiller toujours.
mais au point de vue plage de réglage, il n’y a pas photo.
Après il faut savoir dire stop et ne revenir que sur un RAW plusieurs mois ou années après si besoin. Sinon c’est sûr que c’est infini. 🙂
Merci pour le partage. 😉
Bonjour hanen,
Pour les RAW Fuji, capture one se débrouille mieux que Lr, du moins c’est ce qui semble ressortir de l’avis de beaucoup d’utilisateurs Fuji qui ont switché de Lr à C1 pour cette raison.
Bravo pour cet article !
Je travaille en RAW + JPEG, afin d’avoir le beurre et l’argent du beurre.
Le JPEG me permet de visualiser rapidement mes photos et de les récupérer sur mon iPhone sur le terrain ; lorsque je retraite mes photos avec DxO, je supprime les JPEG du boitier.
Je gère mon propre flux de photos et n’utilise pas de fonction de catalogage.
Pour ce qui est du poids des photos, les disques durs modernes de plusieurs To ne sont pas chers en comparaison avec les appareils photos. J’ai 140000 photos sur mon disque, plus 70000 RAW.
Il vaut mieux prendre beaucoup de photos et les sélectionner drastiquement pour garder les meilleures. Si je fais 2000 photos au cours d’un voyage, combien vais-je en montrer aux amis ? 50 ? Je reste entre les deux…
Je retraite toutes mes photos qui le méritent avec DxO, car j’ai fait le choix d’un objectif universel (Sony 24-240) qui n’est pas au top du contraste et de la correction.
Le cas le plus extrême de retraitement que j’ai pu faire est probablement celui-ci ; la photo est prise à 80 km de distance à travers le hublot de l’avion et en biais :
http://escaich.com/photo/A7R19778.jpg
http://escaich.com/photo/A7R19778_DxO.jpg
Pour une fois, j’ai augmenté le contraste et utilisé Clearview…
Comme Richard, je trouve le temps de traitement long mais je suis retraité ! Mon vieux MacBook est un peu lent, mais une des dernières versions de DxO avait considérablement amélioré les temps de traitement.
Au cours de la prise de vue, je m’acharne à ne pas brûler les hautes lumières ; le Sony Alpha 7RII a une molette très bien placée pour gérer en direct ce critère ; la conséquence est qu’on peut avoir des parties de l’image trop sombres, ce qui donne énormément d’intérêt au traitement à partir du RAW, un peu comme sous l’agrandisseur quand on masquait les zones claires.
D’ailleurs, c’est ma philosophie du retraitement des RAW : je fais en gros des corrections comme autrefois et je n’aime pas les photos comme font de nombreux photographes pros, qui augmentent à l’excès contraste et saturation des couleurs. Par exemple, Yann Arthus-Bertrand qui fait des photos superbes sur le contenu, exagère tellement que les parties sombres sont noires et sans détail et que les couleurs sont aussi réalistes qu’à la télé (Mickaël, ça mérite un sujet !).
Pour moi, les RAW sont une image ; il faut juste que le micro sache les lire, ce qui est le cas pour les ordinateurs mais peut-être pas pour la tablettes ; seules les images en bitmap, çad définies point par point, peuvent être lues sans logiciel de ‘traduction’ ; les JPEG ont un codage commun pour tous, alors que les RAW ont un codage qui dépend du fabricant du boitier.
Comme beaucoup, je n’ai pas pu répondre au sondage ; je n’ai pas trouvé de zone réactive au clic.
Merci pour ce partage d’expérience avec DXO. 😉
Pour ce qui est du traitement d’image, chaque photographe a sa propre philosophie et si Arthus-Bertrand aime ses images comme ça, ça me convient aussi. 🙂
On n’est pas obligé de vouloir un rendu réaliste à tout prix non plus, rien ne nous y oblige et de nombreuses photos « naturelles » ne sont pas réaliste, à commencer par les poses longues par exemple. Sans retouche on obtient un rendu qui ne correspond pas à la réalité telle qu’on la voit. 😉
Mais là c’est un sujet à développer pour le blog je pense. 🙂
Il y a un premier aspect dans ma remarque sur les photos phtoshopées : cela concerne la majorité des revues et livres publiés, pour moi, c’est un effet de mode !
Le deuxième aspect, c’est que quand je fais une photo de monument, de paysage ou de personne, c’est le sujet qui est important.
Si on met trop d’effets spéciaux, ce sont les effets spéciaux qui comptent plus que le sujet.
Pourquoi pas en effet…
Ok pour un sujet !
Super article, j’ai bien aimé!
Perso j’utilise le JPEG, je fais surtout de la street photo, réglages en mode manuel, je préfère tout contrôler lors de la prise de vue, ça me permet de rester plus concentré sur ce qui se passe autour de moi et de capter les meilleurs moments. J’adore le RAW mais ça bouffe une place monstre!! Et puis le travail post traitement est trop long. J’utilise Darktable pour la retouche, et je dois dire qu’une photo réussie ne nécessite pas des masses de retouches (contraste, luminosité, saturation). J’ai beaucoup de photos dans mon disque dur et le RAW ça bouffe trop de mémoire 🙂
En mode semi-automatique on peut aussi tout contrôler, c’est juste qu’on contrôle les choses indirectement, mais ça permet aussi d’être plus réactif. 😉
Et le RAW, dans la démarche de contrôle c’est encore une étape au-dessus. Mais il n’y a bien sûr rien d’obligatoire et visiblement tu t’en passes très bien et sans regret. Alors faut surtout rien changer tant que c’est le cas. 😉
si un jour l’envie ou la curiosité se font plus présentes, il sera toujours temps d’évoluer. 😉
Merci !!! 🙂
Le format JPEG est le résultat d’un traitement pensé par des ingénieurs particulièrement brillants et « pilotés » par les équipes marketing des fabricants pour sortir une image correspondants à des goûts « standards internationaux » mais forcément liés à une époque. Les résultats sont le plus souvent très bons voire excellents mais restent hélas figés.
Le format RAW demande du travail, mais c’est un travail sur soi, c’est une interprétation personnelle. On peut oser faire une comparaison qui me semble assez juste avec la musique. Une symphonie dirigée par l’auteur lui même et la même oeuvre interprétée par un autre maestro même meilleur dirigeant d’orchestre que l’auteur n’aura pas la même « saveur ». Avec le RAW on est son propre interprète !
Il est en outre intéressant de retravailler une image quelques années après la prise de vue et de constater à quel point notre propre interprétation évolue ceci même en mettant de côté l’indéniable amélioration des logiciels de post-traitement.
J’ai apprécié votre article qui nous change des discours manichéistes et péremptoires dont nous sommes abreuvés.
Je dirais que le JPEG c’est plus une pré-interprétation automatique que l’on peut faire légèrement varier pour coller à notre goût. Alors que le RAW on a une liberté beaucoup plus grande sans coup de pouce au départ. 😉
Sinon oui en interprétant une photo à différentes époques ou moment, on n’a rarement le même résultat. C’est même parfois fascinant et j’en ai parlé dans un article sur le post-traitement.
Merci pour cet avis en tout cas. 😉
Pour ce qui est de mon blog, là aussi j’interprète tout à ma façon, donc les discours et autre qui existent sur certains blogs et plateformes, je n’y adhère pas et surtout je ne cherche pas du tout à m’inspirer des autres. Je fais juste ce que j’ai à faire. 😉
Bonjour Mickaël,
Merci pour ce bel article,
j’utilise le RAW pour principalement 2 raisons,
déjà pour ne pas subir le tuning du dématriçage interne à l’appareil figé et définis en usine par le constructeur,
ensuite mes appareils étant un peut anciens, du coup je peut profiter à chaque évolution des programmes de développement (DXO, Lr…) des dernières avancées et amélioration du dématriçage tout en ayant le choix du rendu de ma photo,
Merci beaucoup !!! 😉
Bonjour,
Pour le vote aucun lien d’accès ver le formulaire…
Je travaille en RAW afin de pouvoir personnaliser le tirage, il faut dire que je viens de l’argentique et du développement photos des négatifs et tirages sur papier.
Pour moi les photos doivent être vues sur un support, papier, aludibond ou plexiglass, car sur un écran les résultats sont très divers et varient d’un écran à l’autre que ce soit sur PC, portable, tablette et maintenant sur les téléphones cellulaires.
Maintenant pour la photo souvenir et le partage sur les réseaux sociaux le format JPEG suffit amplement…
Oui le vote déconne et je ne peux pas y faire grand chose malheureusement…
Merci pour ce partage d’expérience.
Le vote ne marche pas pour moi non plus 😉 Alors moi c’est 100% Raw. Je suis passé en RAW le jours ou avec mon FZ28 (il y a un bail) j’ai réussi a mettre en oeuvre la différence entre les deux. Avec un soft comme LR que j’utilise systématiquement RAW + Jpeg ne sert pas a grand chose. Ca complexifie même plus que cela aide. Le Jpeg pourrait servir à partager très rapidement des photos mais comme je ne montre pas mes photos tant que je ne suis pas content du développement je n’ai pas ce problème 😉
Tant pis pour le vote, je donne ma langue au chat. 🙂
Merci pour le partage, c’est marrant de voir qu’il y a presque une habitude différente par photographe sur quelque chose d’aussi basique pourtant. 🙂
Bonjour,
Je suis tout à fait d’accord avec le contenu de l’article. Le format raw est idéal quand on veut travailler ses photos après la prise de vue, et il n’est pas interdit de ne se contenter que du jpeg généré par le boitier. C’est d’ailleurs ce que j’ai fait lorsque j’ai débuté la photo numérique, je n’avais d’abord pas de logiciel pour traiter les raw et par la suite, il m’a fallu du temps pour faire mieux que le jpeg sorti du boitier. Comme tu l’écris, traiter ses photos demande parfois du temps 🙂
(Petite confession: il m’arrive encore pour des photos sans importance de me contenter du jpeg, les algorithmes des D4S et D810 font ça très bien )
Au plaisir de te lire de nouveau
Merci pour ce partage. 😉
Au plaisir de te lire de nouveau aussi du coup et peut-être à très bientôt au Salon de la photo !!!
Moi non plus je n’arrive pas à voter
Pour la pars je ne shoote que en Raw et franchement je ne me verrai pas faire autrement. C’est la seule façon pour moi d’avoir un contrôle total sur le rendu que je veux donner à mes photo. Pour cela j’utilise Lightroom. Lorsque j’ai terminé une série j’exporte en JPEG. Cela me permet ensuite de les envoyer sur Google photo pour déjà une avoir une sauvegarde supplémentaire mais aussi parce que la famille peut ensuite y avoir accès.
Effectivement le raw c’est très lourd. Je stock tout cela sur deux disques durs externes et l’année en cours est aussi sur mon ordi.
Et comme je suis une phobique de la perte de photo je sauvegarde aussi les Jpeg sur un autre disque dur externe
Pour le moment je n’ai supprimé aucuns fichiers Raw depuis maintenant 3 ans date où je me suis mise au Raw mais peut-être que je devais y venir parce que finalement je ne reviens que très rarement sur mes clichés une fois développés dans Lightroom.
La gestion de la sauvegarde c’est aussi très personnel, chacun aura des réactions différentes face à cette peur qu’on a tous de tout perdre ou en partie. 😉
Pour le vote, je ne sais plus quoi faire à part changer de plugins là. 🙁
Merci pour ce partage d’expérience et à très bientôt au salon de la photo. 😉
J’ai le même problème qu’une autre personne, pas de possibilité de voter, je ne vois que les résultats.
Je shoote en RAW + JPG. En RAW pour sa grande flexibilité et en JPG pour les avoir déjà générés car j’ai une maman qui adore voir toutes mes photos, et à chaque fois que j’y vais on se fait de grosses séances visionnages, c’est plus pratique pour moi.. 🙂
Avec le temps, tout cela commence à peser, mais ce sont surtout les RAW qui sont lourds, si je supprimais tous les JPG que j’ai, ça ne ferait pas beaucoup en proportion et en quelques séances, à cause des RAW je comblerais à nouveau la place que j’avais récupéré. J’ai plus tendance à supprimer des RAW quand ce sont des photos d’événements familiaux de petite importance car je me suis rendue compte que je ne les traitais jamais ceux-là. Régulièrement, je fais un tour dans mes dossiers et je vois s’il y a des RAW que je peux supprimer.
De toute façon, plus le temps avance, plus les fichiers RAW sont dodus, donc ça ne va pas aller en s’arrangeant. Ça me fait d’ailleurs penser qu’il faut que je prenne un autre NAS et que je le mette ailleurs que chez moi, le cloud c’est pas ma tasse de thé (et ça pollue :p).
C’est bizarre pour le sondage, y a pas de raison que ça bug pourtant… Je vais essayer de regarder ça de près quand même.
T’as du bol d’avoir une vraie fan alors. 🙂
Je ne suis pas non plus fan du cloud dans son ensemble et aussi pour cette pollution. Après un Nas c’est pas non plus propre… Mais c’est moins pire c’est certain. 😉
Ah donc je ne suis pas le seul (à ne pas pouvoir voter ET à ne pas garder tous mes RAW pour rien ^^). J’ai essayé en ouvrant l’article sur edge plutôt que Firefox pour voir si ça vient du navigateur mais non, pareil sur edge uniquement les résultats.
Ça ne marche toujours pas ? J’ai tenté de modifier un truc pour voir.
Bonjour,
Je suis ce que l’on appelle généralement un « amateur averti ».
Amateur parce que j’aime la photo et que je ne compte pas sur elle pour gagner de l’argent, ce serait même plutôt le contraire ;-((
Averti car en 60 ans de pratique je me suis frotté à peu près à toutes les techniques, accumulant un savoir que je m’efforce de partager, voir ici : https://fr.wikibooks.org/wiki/Photographie
Pour moi c’est RAW + JPEG.
Le RAW a deux avantages principaux :
– il constitue une preuve attestant que son « propriétaire » est bien l’auteur de la photo,
– il permet de « récupérer » de précieuses informations lorsque des photos sont un peu sur et/ou sous-exposées, ce qui peut se voir très rapidement à l’aide de l’histogramme.
Il faut retravailles toutes les photos que l’on souhaite conserver mais en s’efforçant d’y consacrer le moins de temps possible. Ceci suppose que les difficultés éventuelles ont été surmontées dès la prise de vues, sinon, on mitraille comme font certains en imaginant qu’ils pourront trier par la suite et l’on se retrouve à devoir choisir entre le mauvais et le médiocre. Par ailleurs, la plupart des images produites par un photographe, quel qu’il soit, ne méritent pas d’être considérées comme la « photo du millénaire » et d’être retravaillées pendant la moitié d’une éternité.
Je tâche de ne jamais oublier ces deux principes. C’est pourquoi, dans la plupart des cas, je pars du JPG après avoir jeté un coup d’œil à l’histogramme. Si celui-ci n’est tronqué ni à droite ni à gauche, cela signifie que la photographie ne présente aucune zone sur ou sous-exposée et donc qu’il sera assez facile de la retravailler. Cela suppose que toutes les accentuations permises par le boîtier soient désactivées ! En revanche si l’histogramme est un peu tronqué, je repars du RAW pour limiter les dégâts. Naturellement, s’il est très fortement tronqué, il vaut mieux abandonner tout espoir d’obtenir un chef d’œuvre !
Amitiés,
Jean-Jacques
C’est marrant comme façon de fonctionner, mais c’est la preuve que chaque personne peut faire son propre système dans le système et je trouve ça top. 😉
Merci pour ce partage. 😉
Salut Micka,
Pour moi RAW uniquement (pas pu voter, ça ne m’affiche que les résultats comme si j’avais déjà voté ce qui n’est pas le cas mais bon ^^). Voilà pourquoi:
-Aucun impératif de livraison, personne n’attend mes photos 2 secondes après la prise de vue lol.
-Aucun Jpeg sorti du boitier (et non pas brut de boitier, qu’on dise que le RAW est une image brut de boitier est déjà faux, plutôt fichier brut d’ailleurs c’est ce que RAW veut littéralement dire, mais entendre parfois Jpeg brut de boitier c’est pire) ne peut être reproduit avec le RAW ou alors c’est qu’on ne sait pas comment post-traiter.
-Avec les logiciels comme DxO, si on ne veut pas y passer des heures on peut très bien se créer ses petits presets persos avec beaucoup plus de latitude que ce que le boitier propose donc ça peut être très rapide.
-Sur l’espace de stockage aujourd’hui ça ne coute plus tellement, je pense que les temps de transfert et de traitement avec les fichiers lourds comme le RAW sont des « désagréments » bien plus perceptibles (entre guillemets parce que inévitables et surtout il y a 10-15 ans les RAW pesaient peut-être beaucoup moins avec des capteurs de 12MP mais les ordinateurs/logiciels/liaisons comme l’USB étaient beaucoup plus lents, traiter une image de D700 avec un ordi à 1000€ à cette époque mettait plus de temps qu’avec un D850 et un ordi au même prix aujourd’hui, mais on savait être patient ^^).
-Les logiciels gratuits fournis par les marques tiennent compte des réglages boitier à la prise de vue, facile d’en ressortir le même Jpeg donc shooter RAW+Jpeg ne me semble pas intéressant, il suffit de mettre le RAW dans le logiciel maison et cliquer sur conversion tout de suite tu auras le Jpeg qu’aurait sorti le boitier en 1 seconde (ce pourquoi je disais que si on ne sait pas ressortir le même Jpeg que le boitier on ne sait pas comment post-traiter 😉 ).
-Tu parlais de négatif numérique, quand c’était en argentique je pouvais comprendre qu’on n’avait pas envie de se monter un labo photo, acheter des produits chimiques et passer du temps à attendre que les révélateurs aient fini leur boulot, en numérique on a tout ça en bien plus personnalisable encore et bien plus rapide en ayant simplement un ordinateur sous la main.
Bref, pour moi pas de débat, il n’y a pas de comparatif à faire entre RAW et Jpeg mais bien comme tu le dis selon notre usage, si on se contente du Jpeg boitier pas de honte à rester en Jpeg même si personnellement je trouve dommage de se passer de toutes ces possibilités offerte par notre appareil (qu’on a payé!) et le brider soi-même en se limitant au Jpeg (exemple avec un autre commentaire avec Canon vs Nikon, toi qui utilise DxO tu sais à quel point en RAW ça n’a plus tellement d’importance avec l’outil « rendu des couleurs » 😉 ). Donc pour moi c’est comme comparer un cageot de pommes avec une pomme duquel elle provient, d’ailleurs afficher des images en les présentant comme des RAW alors que tu dis depuis le début que ce n’est pas une image… ^^
Il n’y a pas de confusion de ma part, mais faut bien utiliser des termes. 😉
Je ne présente pas les RAW comme des images, j’ai bien écris JPEG du RAW traité ou du RAW brut, j’ai pas juste écrit RAW. 🙂
Mais bref, là c’est du pignolage. 😉
L’espace de stockage, ça coûte cher quand tu as une grande quantité de photo et que tu veux les sauvegarder un minimum efficacement. Et la problématique d’envoi des fichiers est toujours là, même si le progrès fait que c’est quand même plus simple de nos jours. Je me faisais tellement chier avec ma clé 3G à l’époque… Et c’est pas si loin pourtant…
Maintenant, je suis un RAW convaincu, mais avec mon exemple, on peut voir que la différence avec un JPEG peut être minime suivant notre degré d’exigence. 😉
« Jpeg brut de capteur » je voulais dire en 2ème point, si tu peux corriger lol.
Mais justement le fait que le RAW ne soit pas une image tu ne peux pas comparer, ou alors il faudrait comparer un Jpeg boitier avec une infini de Jpegs avec une infini de traitements différents tirés du RAW. La différence avec le Jpeg boitier peut être minime si on fait un traitement qui y ressemble mais c’est aussi l’avantage du RAW de ne pas se limiter aux traitements choisis par des ingénieurs dans les locaux de Nikon (ou autre marque bien sûr).
20Mo le RAW, avec un disque d’1To ça fait quand même 50 000 photos, honnêtement on est combien dans toute une vie à faire 50 000 photos qui valent le coup d’être gardées :p . Oui avec un D850 les RAW font plutôt 100Mo mais quand tu lâches 3500€ dans un boitier tu peux en lâcher 200 pour un disque de 6To (même 2 si tu veux une sauvegarde).
La comparaison vaut pour la réalité de ce qu’on peut ou non faire avec un RAW et qu’on ne peut pas faire avec un JPEG. Que ce ne soit pas un fichier image, on s’en fiche finalement. 😉
Pour ce qui est du RAW, les miens dépassent déjà parfois les 25Mo et pourtant je n’ai pas un boîtier qui est au taquet niveau mégapixels, donc je pense que certains ont facilement des RAW de 50Mo et du coup tu mets déjà moins de photos. 😉
Ensuite, ce que tu considères comme photos qui valent le coup d’être gardées c’est très subjectif, certains photographes, pour leur besoins, empilent des tonnes de photos en reportage ou pour les besoins de leurs clients. Je ne dis pas que c’est bien ou une généralité, mais ça existe. Les problèmes de stockage, ce n’est pas juste une invention des photographes pour se plaindre. 🙂
Pour ma part, je sauvegarde tout mon travail et il n’y a pas que des photos dans le lot, mais j’aimerais que ce soit aussi simple que tu le décris en revanche. 🙂
Oui mais j’ai dit « on est combien dans toute une vie » justement à dessein, toi photographe sportif pro tu as beaucoup de photos, mais on est combien dans ce cas? Pareil des RAW de 50MP faut ad minima un boitier de 36MP, on est combien à en avoir (surtout au prix que ça coute, en comparaison le prix des disques c’est une paille)? En général tu parles pour la majorité des gens mais là des RAW de 50Mo, des clients, des reportages…ça limite déjà à du pro avec des boitiers 36MP+ à 3000+ balles, c’est pas M. tout le monde non plus ;).
Je pense qu’il y a quand même pas mal de possesseurs d’appareil avec un tas de mégapixels et ça va pas s’arranger avec les hybrides. Je suis plutôt dans la moyenne basse moi avec mon D5. 😉
Après, perso je ne fais pas tant que ça de photos, mais année après année, ça va vite mine de rien. Je ne sais même pas combien j’ai de photos au total… Faudrait que je regarde ça un jour par curiosité d’ailleurs.
Je suis plutôt dans la moyenne haute avec mon D810 ^^ mais je vire beaucoup de photos, quand je fais une rafale qui finit avec quasiment 10x la même photo j’en vire 9 et pour le quotidien et les vacances j’ai un D750 et un petit compact expert 12MP largement suffisant, la plupart des photos resteront pour moi et je n’y reviendrai probablement jamais alors je ne garde pas tous les RAW et globalement je pense que beaucoup de photographes gardent des RAW qui prennent une place inutile sur leur disque (j’allais justement te poser la question combien de photos tu as après tout ce temps lol mais surtout combien d’entre elles tu as re-traité au fil du temps?).
Non mais c’est évident qu’on garde trop de RAW loupé, j’essaye de supprimer sur le terrain les photos, mais au retour j’ai souvent la flemme de le faire et je me concentre surtout sur les « bonnes » photos. J’essaye de faire du ménage quand ça me prend, mais c’est fastidieux et pas super fun… Pourtant je ne fais quasi pas de rafale, heureusement du coup. 🙂 🙂 🙂
Un jour je ferais le compte pour voir, ça peut faire peur je pense. 🙂
Le ménage c’est jamais fun ^^ mais parfois on retombe sur d’anciennes photos qu’on avait oublié c’est sympa. Après quand tu tries en temps réel forcément c’est pas le cas mais c’est moins fastidieux.
Toujours pas possible de voter.
Je viens de modifier à nouveau le sondage, en espérant que ce soit bon. Sinon j’abandonne. 🙂 🙂 🙂
Ca marche ;).
Bonjour Mickaël, je shoot en raw + jpeg sur la seconde carte SD pour sécurité.
Comme tu l’expliques, le raw laisse plus de possibilité et de liberté de développement .et de créativité.
Personnellement j’apprécie de passer un peu de temps en post traitement sur les photos qui me semblent les meilleurs.
Tant mieux, comme ça au moins tu prends du plaisir à tous les niveaux de la chaine au moins. 🙂
Moi je n’aime pas y passer du temps, mais quand je suis rapide et efficace, ça passe. Et je suis quand même content de pouvoir finaliser ma vision et mes envies. 😉
Bonjour Mickael,
Sujet assez souvent traité mais tu y apportes ta touche perso 😉 RAW depuis des années pour moi, en ce qui concerne mes « travaux photographiques ». Essentiellement pour les possibilités de développement sur les ciels, la balance des blancs et la récupération des détails.
Par contre je n’ai pas réussi à trouver l’organisation qui va bien pour les « photos de famille » donc c’est JPEG dans ce cas là et ainsi avoir un fichier « prêt à l’emploi ».
Se pose maintenant le problème de l’espace disque, donc je fonce lire ton article sur le sujet, le Père Noel tombe à pic !
Cool si on voit ma touche perso alors. 🙂
L’espace disque c’est un vrai gros sujet… Et ça ne fait qu’empirer avec les années. 🙂 🙂 🙂
Bonjour Mickaël,
Je photographie en RAW + JPEG.
Bon salon et peut-être que l’on se verra
J’espère aussi. 😉
Je photographie en RAW. J’ai l’impression de maîtriser ce que je souhaitais obtenir.
Tant mieux si tel est le cas alors. 😉
Bonjour Mickaël.
Bel article sur ce débat qui n’est pas près de prendre fin…
Pour ma part RAW+JPEG. Le RAW pour toutes les qualités que tu as détaillé et qu’il détient pour le développement de nos photos, obligatoire pour moi ( je dis exprès « développement » pas « retouche »).
Ensuite le JPEG également, car il me permet une sauvegarde sur ma deuxième carte ( au cas où … ) et de balayer plus rapidement que le RAW ma première sélection rapide d’images ( en photos d’action avec rafale par exemple…).
Pour finir je shoote en CANON pas en NIKON… Les rouges opposés aux jaunes, un autre débat sans fin… 😉
Bon salon à toi, beau programme, perso je n’y vais pas cette année !
Personne n’est parfait, je te pardonne de shooter en Canon. 🙂 🙂 🙂
Je suis curieux de voir ce que les lecteurs vont voter, pour ma part c’est aussi RAW + JPEG pour le moment comme expliqué dans l’article. 😉
Merci à toi !!!
On peut se croiser plus facilement à Bordeaux qu’au salon de la photo, donc ça va. 🙂