Y a-t-il des haters, jaloux et relous en tout genre dans le monde de la photo ?
Bon la réponse est facile et c’est évidemment un gros OUI ! Plus qu’ailleurs ? Hum, je pourrais répondre encore oui, parce que c‘est un domaine concurrentiel ou la jalousie peut vite être exacerbée.
Quiconque tente de faire son bout de chemin et de proposer des choses, se confrontent à ce type de personnes. C’est triste, mais bel et bien réel…
Comment on gère ça, comment on les évite, comment on leur répond ?
Dans cet article, je vais essayer de vous partager mon expérience ainsi que mes bons et mauvais choix dans le domaine.
Les haters me fatiguent, mais bon il faut quand même que je vous en parle.
Hater, jaloux et relous, qui sont-ils ?
Le premier est un mot à la mode et il est grandement associé au web. On parle rarement de haters dans le monde physique. Non, le hater se cache souvent derrière son ordinateur ou son téléphone. Mais d’une manière générale, les jaloux, casse-pieds et relous ne vont pas venir vous faire face. Quel que soit votre carrure bien sûr.
Je ne suis pas en train de dire qu’ils ne viennent pas me voir personnellement parce que j’ai la carrure de Ragnar Le Breton. Je n’ai pas tout à fait sa carrure, je dois bien l’avouer. 😆
Même la pov petite photographe toute jeune, pimpante et gentille, ces gens-là ne s’y attaquent pas de front et heureusement…il ne manquerait plus que ça…
Cependant, les attaques indirectes font tout aussi mal, voire plus encore parfois. Et ces gens le savent souvent, mais parfois l’ignorent aussi, c’est dire s’ils sont crétins…
Le hater de base, c’est souvent quelqu’un qui croit défendre ses idées, ses intérêts, sa corporation, son travail, ses potes ou qui veut juste donner son avis incroyablement pertinent sur tout. Donc malheureusement ça peut être beaucoup de monde… Il n’y a pas de profil défini, sinon croyez-moi que je ferai tout pour les éviter. 🙂 🙂 🙂
Et comme pour toute agression dans la vie, le hater vient rarement de loin, c’est souvent un proche de votre réseau, même si vous ne connaissez pas directement la personne. Sur les réseaux vous verrez que vous avez souvent une connaissance en commun ou participez à un même évènement. Bref, c’est rarement un type à l’autre bout du monde sorti de nul part qui s’en prend à vous comme ça. 🙂
Ha oui et chose importante, le hater est souvent masculin. J’en suis pas fier du tout… En tout cas, de ma propre expérience, j’ai rarement eu à faire à des femmes dans ce type d’embrouilles…
Parfois le hater t’a aussi aimé à une époque.
Pourquoi sortent-ils du bois ?
Si vous faites des choses, en parlez autour de vous, publiez et communiquez, sachez que des haters potentiels rôdent autour de vous. Je ne veux pas vous faire flipper, mais c’est malheureusement une évidence…
Si vous êtes peu suivi, ils ne s’attaqueront pas à vous facilement et bitcheront juste dans votre dos à l’occasion. Mais si vous faites un peu trop parler de vous, si vous êtes un peu trop présent ou si trop de monde gravite autour de vous, là c’est pas la même limonade…
Et ça peut surprendre au départ quand on ne s’y attend pas du tout et qu’on est dans une démarche naïve.
Mon premier hater date de mon tout premier blog lancé en 2005 sur une plateforme dédiée. Autant vous dire qu’avec la maigre quantité de commentaires que j’avais à l’époque… ça piquait un peu. 🙂
Certains réussiront d’entrée de jeu à se dire que c’est la rançon du succès et la preuve qu’on est sur la bonne voie. Je ne l’ai pas pensé pour moi-même, pas du tout même, mais c’est ce que je dis parfois à certaines personnes en formation ou au travers de mes échanges privés et publiques. 😉
Il suffit d’un mot au mauvais moment, d’une publication trop clinquante ou d’un évènement quelconque pour que les haters sortent du bois. C’est en ça que c’est souvent ressenti violemment, parce qu’on ne les voit pas souvent arriver.
Sauf quand on cherche à les obliger un peu à sortir de derrière leur écran. Quand j’écris un titre comme « Pourquoi je ne veux pas d’un appareil photo hybride ? » je sais bien que je vais m’attirer les foudres de pas mal de monde.
C’est aussi un moyen de faire apparaître les gens qui n’attendaient qu’un faux pas, du moins ce qu’ils considère tout comme. D’ailleurs, j’entends plus parler de ceux qui me voyaient comme un anti-hybride depuis que j’ai le Z9.
Comme les cerfs, les relous vivent apparemment dans les bois. 😆
Quoi faire pour les éviter ?
Je ne crois pas qu’il y ait de solutions pour s’en débarrasser malheureusement… Il n’existe pas de spray, de patch ou de vaccin contre les relous et les haters. 🙂
Et c’est bien dommage, parce que je rajouterai bien un QR code de plus sur mon appli « AntiCovid » !
Plutôt que de les éviter, je serais tenté de vous dire de les ignorer. Vous ne pouvez pas éviter quelqu’un qui se sent l’envie de vous remettre à votre place, vous ouvrir les yeux ou juste vous insulter.
Mais vous pouvez ignorer ces abrutis finis en revanche. C’est plus facile à dire qu’à faire bien sûr, parce qu’après plus de 10 ans d’expérience dans le domaine je n’y arrive pas toujours. 🙄
C’est d’ailleurs un de ces attardés qui m’a inspiré cet article, bien dans l’esprit de Noël. 😆
Mon malheur, avoir voulu faire une publication sponsorisée sur Facebook pour parler d’une formation photo. En plus, je ne voulais pas faire de publication sponsorisée cette année… par manque de budget. J’ai craqué en fin d’année et bim, JP le gros relou sort du bois…
Sauf que moi je déteste laisser le dernier mot à ces types, donc j’ai eu le malheur de répondre… Mais au final ça ne sert à rien et ça ne peut que vous desservir en plus. Mais on ne se refait pas et je supporte pas l’idée qu’un type vienne me cogner sans se prendre une bonne manchette dans les dents au passage quand même. 🙂 🙂 🙂
Je me dis toujours que ça l’empêchera peut-être d’aller s’attaquer à quelqu’un d’autre une prochaine fois. Mais c’est probablement très faux…
Les haters se cachent toujours, ils n’aiment pas révéler leur face sombre…
Vivre avec les haters
Et oui, il faut malheureusement vivre avec ces gens-là… La jalousie et l’envie sont des sentiments communs, difficile de les esquiver. Même si on peut faire en sorte de ne pas les attiser.
Personnellement, je ne crois pas travailler en ce sens. Je ne poste pas des choses pour raconter que j’ai la meilleure vie du monde, puisque je vous partage aussi mes moments de loose. Je ne fais pas non plus croire que je suis le meilleur des photographes ou des formateurs photo et je ne crois pas me mettre plus que de raison en avant.
Bon après, je vais peut-être avoir des commentaires qui me diront le contraire. Mais tant que ça reste correct et pas en mode leçon de vie, je n’ai pas de souci avec la contradiction. Mais j’aime bien me défendre aussi.
Heureusement, je n’ai pas une influence assez grande non plus pour me prendre des armées de haters sur le dos. J’ai à faire à un glandu de temps en temps qui veut me la faire à l’envers, mais ça reste gérable. Bien que ça me gonfle tout de même, je suis bien moins touché qu’avant, parce qu’on fini par s’y habituer, mais ça fait toujours chier quoi qu’on en dise.
L’inspirateur de cet article est venu commenter sur ma publication sponsorisée de Facebook, pour dire qu’en gros j’avais pas le niveau en photo. Libre à chacun de le penser, ça ne me dérange pas. Même si j’étais le meilleur photographe du monde, je ne ferai pas l’unanimité par mes images de toute manière. Bon… sachant que je ne suis pas le meilleur, je vous laisse imaginer. 🙂 🙂 🙂
Mais pourquoi faire ça ? Quel est l’intérêt de le faire ? Même si on pense vraiment que je suis nul pour faire des photos et former des gens, en quoi un cerveau sain peut se dire « je vais aller le dire publiquement » ?
Je n’ai pas la réponse, mais dites-moi dans les commentaires si vous en avez une, je veux bien. 😉
Si je pense qu’un boulanger fait du mauvais pain, je ne vais juste pas me servir chez lui et je passe mon chemin. Je vais pas placarder sur sa vitrine un message comme quoi son pain et dégueu et faut pas l’acheter. On me prendrait pour un fou si je faisais ça, alors pourquoi sur le web certains arrivent à se dire que c’est normal ? Surtout que la plupart du temps ces rigolos font, à mon sens, du moins bon travail que moi…
Mais comme je vous ai dit, ça vient toujours du réseau et de l’entourage finalement. Il se trouve que j’ai un photographe en commun avec lui dans mes amis, c’est un type qui vit dans mon département et il fait lui aussi de la formation photo… Et oui, je l’ai vu après parce que j’ai senti que son attaque était louche, mais ce monsieur teubé fait aussi de la formation photo. Je ne sais pas si son activité marche ou non (et je m’en cogne vraiment), ce qui peut expliquer la jalousie ou l’envie. Normal, mes formations photo sont supers aussi.
Mais en gros, il n’y a pas de hasard. Il me tombe dessus parce qu’il a un ressenti envers les types qu’ils pensent être comme moi sur le web. Il me parle de tunnel de vente dans ses commentaires, preuve qu’il est hors sujet le garçon… Ma publication a du tomber au mauvais endroit et au mauvais moment sur son fil. Maintenant, ça n’excuse en rien des attitudes néfastes et débiles comme la sienne bien sûr…
Bizarrement au Salon de la Photo les haters ne viennent pas me voir, non j’ai plutôt des personnes supers gentilles qui viennent me voir et accessoirement se faire dédicacer mon livre. 🙂
Ne pas se laisser casser le moral
Des exemples de relouitude, j’en ai plein et je pourrais en rechercher des tonnes… Trop malheureusement même.
Quand mon livre, Les secrets de la photo de sport, est sorti, j’étais super content. J’avais hâte d’avoir des retours et un peu peur qu’il puisse ne pas plaire. Et il se trouve que le livre plaît et tant mieux.
Pourtant, je reçois un message privé sur Facebook d’un type qui m’a ajouté je ne sais quand, que je ne connait pas et qui me dit textuellement : « bonsoir bizarre quand meme la société eyrolles demande tous les 4 ans a un photographe ses secrets des photos de sport… ». J’ai pas enlevé les fautes ni modifié son « propos », j’ai laissé tout tel quel. 😉
Alors il n’y a pas de haine là, mais une remise en cause comme ça, à froid et sortie de nul part. Les messages et interactions avec la personne par la suite en attestent. Et des petits messages mesquins, on peut en recevoir plusieurs comme ça sur une semaine, ce qui peut « marquer » à force quand on a envie de bien faire les choses.
Là encore, il se trouve que j’ai pigé que le type est pote avec le photographe du précédent livre. Ce même photographe qui voulait me recruter pour sa propre agence, qui m’a posé un lapin au Salon de la photo et que j’ai fini par bloquer sur Facebook après moults publications complotistes et pire encore parfois… Je ne supportais plus de trouver ces choses sur mon mur.
Mais ça peut aussi être des messages d’autres photographes qui te disent que tes photos sont pas ouf et que tu ne devrais pas enseigner ce que tu ne sais pas faire toi-même. Des types qui te disent que tu vends tes formations trop chères ou d’autres qui viennent expliquer au reste du monde que c’est juste une arnaque en fait.
Ces petits grains de sable peuvent vraiment vous atteindre même si vous êtes parés, alors si vous ne l’êtes pas… ça peut être compliqué à gérer.
Quand je publie des photos de sport, ce gars sort de l’ombre et vient régulièrement me dire que je ne suis pas bon. La 1ère fois j’avais déjà compris que j’étais nul, pourquoi répéter la chose sauf à vouloir nuire ?
Conclusion
Aujourd’hui, vouloir créer c’est malheureusement aussi aller au devant de mauvaises remarques gratuites et bien souvent citées pour blesser la personne qui les reçoit.
Vouloir entreprendre des choses c’est déjà compliqué de base, mais faire face à des mécontents et des haters, ça complique encore plus la chose. Il faut vraiment avoir les reins solides. Je n’ai pas de problème pour dire que je me suis solidifié seulement au fur et à mesure des années, mais il y a toujours un coup de travers qu’on ne voit pas venir et qui vient nous titiller les côtelettes. Et ça pique, forcément…
N’attendez pas trop de l’avis des autres et quoi qu’il en soit, pondérez les avis ! D’ailleurs les bons comme les mauvais. Parce que de bons avis peuvent aussi faire du mal à terme. Parce que vous prenez la grosse tête, parce que vous vous rendez compte un jour que les gens par gentillesse ont été un peu trop dithyrambique, etc…
Pour les mauvais avis et commentaires, ne prenez que ce qui est éventuellement intéressant. Il y a toujours du tri à faire. Maintenant quand l’avis vient de quelqu’un que vous estimez, là ça fait mal et c’est encore plus dur à gérer… Et je n’ai pas de solution miracle en stock pour vous aider…
Mais essayez de comprendre la motivation de la personne en face. Si elle n’est pas saine ou claire, oubliez le commentaire autant que possible alors. Facile à dire, mais d’expérience, une personne qui veut vous dire un truc négatif pour votre bien… met les formes et ne fait surtout pas ça publiquement. 😉
Voilà pour cet article gai en période de Noël, mais bon j’ai eu de l’inspiration malgré moi. Je me suis dis que cet article parlerai probablement aux personnes qui, comme moi, sont plus dans la création que la destruction du travail des autres. 😉
Parfois, je me dis qu’il faut être un peu fou à notre époque pour vouloir encore construire des choses ou vouloir aider. Au risque que quelques clampins viennent souffler sur votre château de cartes à l’équilibre précaire…
Avez-vous eu à faire à des haters ? Dites-moi tout dans les commentaires. 😉
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Bonjour Monsieur Mickaël BONAMI,
Je suis tombé encore une fois sur votre blog pour cet article.
Des haters jaloux, c’est sûr qu’il y en dans la photographie. Malheureusement, il n’est pas nécessaire d’être un professionnel pour en avoir. Je ne suis qu’un « amateur » ; mais qui a obtenu quelques reconnaissances en concours internationaux ; mais je peux vous dire que j’en ai eu un paquet des ces haters jaloux. Au début et en plus comme cela tombait dans cette foutue période de COVID, j’en ai fait un burn-out par leurs messages (même privés) sortis d’une poubelle de m…de. Oui, au début je répondais ; mais j’ai vite compris que j’attisais leur feu. Alors, je ne réponds plus. Par contre je les archives. Des fois, cela pourrait servir en tant que « main courante » déposée à la gendarmerie ; car j’en ai eus qui dépassaient les bornes de la débilité. C’est sur les conseils de mon avocate que je l’ai fait… Ça allait vraiment trop loin !
Ce que vous écrivez dans cet article, je l’ai vécu et ressenti et en fait, merci de l’avoir écrit ; car je me sens moins seul 😉
Cordialement.
Roger
Oops, désolé pour la faute faite à votre nom 🙁
Pas de souci. 😉
Et oui c’est triste mais les relous sont parfois très pesant et les ignorer au possible est souvent la meilleure des solutions.
Salut Micka ;),
Je viens « hater » lol. Haha l’article sur pourquoi tu ne veux pas un appareil hybride, que de souvenirs ^^ j’avais dit à l’époque qu’à ce moment-là la raison pour laquelle ça ne te convenait pas c’est probablement que tu demandais du monobloc sportif qui n’existait pas encore en hybride mais qu’une fois que ce serait le cas…puis est arrivé le Z9, tu m’avais dit « Pour moi la visée numérique reste une régression et je n’irai vers elle que contraint et forcé, mais c’est pas pour de suite. Il ne reste plus qu’à se donner rendez-vous ici dans 2-3 ans alors et on fera le point sur les évolutions. » l’an dernier, et on connait la suite, même pas eu besoin de 3 ans :D.
Voilà, c’était juste pour dire « nananananère » lol. Non je plaisante, mais c’est inévitable, quand on donne son avis et qu’on en fait un blog, c’est publiquement donc impossible d’empêcher qui que ce soit qui n’est pas d’accord avec toi de répondre publiquement à moins d’empêcher qu’on commente tes articles. Après il y a la manière et la pertinence, c’est clair que « t’as pas le niveau! » c’est un peu court comme argument et en général ceux qui se contentent de sortir ça pas la peine de leur demander de développer, s’ils en étaient capables ils l’auraient fait dès le départ :p .
Comme je l’ai dit, la contradiction ne me pose pas tant que ça de prob, c’est même marrant quand c’est bien fait. 😉
Mais ça c’est pas l’apanage des haters qui sont juste de sombres abrutis. lol
Pour les hybrides, je confirme mes dires avec la visée électronique d’il y a 3 ans, que je ne pourrais pas accepter pour mon Z9. lol
Mais évidemment le Z9 et les derniers sortis changent la donne sur ce point. Ca sera encore bien mieux à l’avenir c’est sûr, mais aujourd’hui on a des trucs qui selon moi sont acceptables. Mais finalement je ne renie pas grand chose de mon article de l’époque, je pense que mes arguments même s’ils peuvent être pondérer avec les avancées technologiques qu’on connait ne sont pas si cons. lol
L’autonomie est toujours catastrophique sur beaucoup d’hybride, la course au poids et à la taille se freine parce qu’elle n’est pas foncièrement cruciale et même parfois défavorable. Il suffit de voir ceux qui sont constamment obligés de passer par les menus pour faire des photos…
Bref, j’ai de toute manière pas du tout mal pris les gens qui me disaient que je me trompais à l’époque ou qu’ils n’avaient pas le même avis. En revanche, ceux qui me disaient que je n’y connais rien, que je n’accepte pas le progrès ou je ne sais quelle connerie… 🙂 🙂 🙂
Pour l’autonomie, il y a aussi un conservatisme de la plupart des marques de vouloir garder la compatibilité avec les anciennes batteries alors qu’elles ne sont plus au niveau pour les exigences d’énergie des hybrides récents (Nikon et Canon en tête).
Quant à la course au poids et à la taille, tout comme cette idée de passer par les menus pour faire des photos, j’avoue que je n’ai jamais compris. Il suffit d’écouter les Fujistes qui vantent la « sensation argentique » sur leurs X-T…qui vient du fait qu’à l’époque, beaucoup d’appareils 24×36 étaient assez légers avec aucune poignée et juste 1 ou 2 molettes (le Nikon FM2 ou Canon AE1, par exemple), pourtant on faisait des photos alors qu’il n’y avait même pas de menu. Avec les appareils actuels, il y a assez de molettes et de raccourcis pour s’en passer aussi dans la majorité des cas à mon sens, même sur les plus légers et compacts type X-T30 ou E-M5 III.
Du coup t’y connais rien, passer par les menus c’est le progrès, faut l’accepter mdr 😉 .
Heureusement moi j’ai pas à farfouiller les menus, parce que ça me rendrait dingue à terme. lol
Pour les batteries, tôt ou tard, le problème ne sera plus présent, mais bon faudra attendre encore un peu.
Pas encore eu à faire à un hater par rapport à mes photos, mais je ne suis pas connue ! ^^
En photo ou ailleurs, c’est quasi toujours le même profil de personne, et comme ceux qui harcèlent dans la vraie vie, ce sont des personnes que je plains, qui ont un souci pour agir comme ça et/ou ont une vie bien inintéressante pour aller chercher des poux aux autres ! 😀
Il te manque peut-être encore un poil d’audience pour que ça arrive alors, pas besoin d’être connu non plus. lol
Ils sont juste dans l’ombre et attente le bon moment pour te sauter à la gorge. 🙂 🙂 🙂
Je l’avais loupé celui-là 😉 Ahhh les haters. Moi, généralement, je les envoie péter en me moquant d’eux puis je leur coupe le moyen de réagir. Habituellement, il n’aiment pas cela. Donc certains te contactent par mail et là, bingo, tu as leur mail que tu peux évidement bannir aussi de ta messagerie. Il faut dire que j’étais sur Internet avant Internet donc j’ai une certaine habitudes de tous ces idiots qui ont fleuri au fur et à mesure et donc leurs remarques ne me font ni chaud ni froid.
Une personne qui part du principe que pour être reconnu, il faut rabaisser les autres est totalement inintéressante. Dans la vraie vie, tu n’invites pas ces gens chez toi et sur le net il faut juste faire pareil
J’ai tenté une expérience en m’inscrivant sur des groupes FB de « Photographes ». L’idée était de voir si ces groupes permettent de progresser. C’est édifiant 😀 L’avantage, c’est que cela permet de repérer les haters et de les bloquer. Je dois en être à 75 dans ma liste de bloqués
Bonnes fêtes
Les fameux groupes facebook, en gros la crème du pire de ce qu’on retrouve généralement dans les clubs photo. 🙂
J’y mets même pas les pieds, même si j’en ai fréquenté vite fait et que j’en ai encore dans mes groupes et voit passer de temps en temps des publications… qui ne font pas envie. lol
Salut, j’entends parler régulièrement du problème des haters, dans tous les domaines, et ça me rassure qu’on ait trouvé un terme pour les désigner… C’est vraiment une action gratuite et malveillante de personnes frustrées ou qui n’ont que ça à faire ! Et le problème c’est que ce sont eux qui s’expriment plus que les gens contents !
Pour moi, plus on en a, plus on est reconnu, c’est un peu un baromètre ! Il vaut mieux se dire ça, non ? Houhouuu, vivement que j’ai des haters ! Ah si, j’en ai eu un une fois, après achat d’une pub facebook pour trouver des clients pour mes sorties kayak et photo… Le gars trouvait ça trop cher, car lui, il avait un kayak et pouvait aller gratuitement à l’île aux oiseaux… 😉 Mais tu sais comment je suis, ça m’a bien piquée quand même !!
Mais dis-moi, tu n’as pas de problème de légitimité au moins… ?? Tu es au top et je te le reredis, je suis fan de ton boulot ! (même si je ne fais pas beaucoup de formations avec toi). Voilà, je pense que les haters ne représentent même pas 1% des gens qui te suivent… ? As-tu une idée là-dessus ?
Bravo pour cet article qui se lit bien… Mais avec quelques « photes d’ortaugraffe » au passage… méfie-toi qu’il n’y ait pas un loup qui sorte du bois pour te le reprocher… ou une chouette ! haha
L’intelligence, c’est comme la confiture. Moins on en a, plus on l’étale ! Et dans ce domaine, nos fameux haters ont un sacré stock de tartines ! Alors bien sûr, ça doit être difficile de faire face ou ne serait-ce que d’essayer de les ignorer, surtout quand ils reviennent à la charge, ce qui est je pense le propre du hâter. En même temps, je pense que pour ces personnes, très majoritairement masculines tu l’as dit, c’est un sacerdoce, une raison d’être, et puis c’est au moins un domaine où ils demeurent imbattables. Être bête et méchant, ça se travaille, ça s’entretient. Le seul souci réside dans l’audience qu’ils récoltent. La société en général est trop influençable et malheureusement, a tendance à croire plus facilement une grosse fake news qu’ une info sèrieuse. Alors, plus c’est méchant, plus l’audience sera grande, les bons sentiments se font rares de nos jours. J’ai bien peur que l’on ne soit pas au bout de nos peines.
Oui comme tu dis, malheureusement les personnes du genre réussissent à avoir de l’audience malheureusement parfois…
Après il y a une majorité de personnes cool, mais 1 tarba réussi souvent à effacer des dizaines de personnes cool d’un coup.
A titre perso, jamais eu vraiment l’occasion de subir ce genre de personnes. Ma production ne doit pas être suffisamment dérangeante pour ça… à moins qu’ils aient juste peur de moi !
L’article est intéressant, même si j’aurai bien aimé quelques petits exemples concrets et bribes d’échanges avec tes chers « haters ». Allez, lâches tout en commentaires !
Ah oui, j’oubliais, je crois qu’en fait tu veux avoir le dernier mot tout le temps, pas simplement avec les haters !
J’ai hésité à mettre des exemples, j’ai pris des captures d’écran et au final je me suis dis que ça n’allait pas apporter grand chose de lire des messages idiots, donc je me suis ravisé. 🙂
Et oui possible que je veuille avoir le dernier mot tout le temps, ça doit être plus fort que moi. lol
Du coup, je vais aller faire un tour sur ton blog tiens… 🙂 🙂 🙂
Salut Mickael, ton article décrit parfaitement l’ambiance de la société actuelle.
J’ai participé récemment à un de tes stages (surf dans les landes) et je me suis régalé. J’apprends à mon rythme.
Je participerai volontiers à un nouveau stage avec toi (surement le tennis d’ailleurs) et également avec un autre photographe. Non pas que tu soit mauvais (au contraire je me suis régalé) mais pour avoir d’autres ressentis.
Je ne comprends pas le besoin d’aller critiquer quelqu’un de cette manière. l’exemple du boulanger est parfait.
Difficile de ne pas répondre à un hater, c’est vrai, difficile de de rien dire. Mais pourtant, c’est la solution.
Courage à tous les photographes (entre autres) victimes de ces haters! Continuons notre passion, chacun ses idées, ses angles de vues, sa vision…
Merci à toi pour ce commentaire et au plaisir de te recroiser en stage photo. 😉
Le Tennis est un très bon choix. 😉